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Louer des costumes de sumos gonflables

Cette animation est à la mode et fait rire tout le monde, des petits aux grands. S'enfoncer dans l'univers japonais avec une attraction au top. Permet de passer un excellent moment.

Mais au faite, le sumo qu'est-ce au juste :

Le monde du sumo professionnel est régi par une seule et unique organisation. Tous les lutteurs qui en font partie sont donc considérés comme professionnels engagés à temps complet dans la voie du sumo.

Le monde du sumo présente une caractéristique originale qui le différencie radicalement d'autres disciplines sportives; il s'agit de son organisation verticale très rigide, venue en droite ligne du Japon féodal des shôgun et des samurai. Ce système évoque pour moi une sorte de microcosme des grands zaibatsu d'avant-guerre, chefs- d’œuvre, s'il en est, du capitalisme et du paternalisme outrancier. Lutteurs, administrateurs, vendeurs de billets et jusqu'aux balayeurs...tous appartiennent à cette association à but non lucratif totalement incontrôlée.

Une location de costumes de sumos gonflables pour se faire plaisir

Louer ces costumes de sumos comme il est possible de découvrir est une attraction avec plein de charme. Il faut essayer pour se faire plaisir. Avec des rires au programme les participants se feront plaisir. c'est un divertissement qui plaira à tous.

Amusant de se bousculer avec cette location de sumo. Devenez rapidement très gros en quelques secondes. Cette animation est amusante et pour tous.

Un art martial spectaculaire

Au sommet de la pyramide, les dirigeants, qui détiennent le pouvoir moral et financier; puis les grands champions et tout en bas les débutants. Chaque lutteur a son nom écrit en idéogrammes chinois sur le banzuke, programme officiel répertoriant les lutteurs selon leur grade. Le banzuke, édité préalablement à chaque tournoi, est imprimé en écriture ancienne, tracés de façon stylisée; il est donc plus symbolique qu'autre chose, puisque la majorité des Japonais est incapable de le déchiffrer.

La pyramide du sumo commence, tout en bas, par le groupe de pré-sumo. Les jeunes garçons qui y font leurs débuts sont âgés de treize à seize ans, leurs cheveux n'ont pas encore suffisamment poussé, depuis leur incorporation dans les rangs du sumô, pour pouvoir être coiffés à la manière traditionnelle; la catégorie maezumô ne figure d'ailleurs pas sur le banzuke, bien que les garçons luttent lors de chaque tournoi.

La fédération de sumos que l'on peut découvrir offre des renseignements.

Un jeu plus qu'un sport

Pour passer dans la division supérieure, ils doivent accumuler quatre points au cours de sept jours de combat. Un point leur est attribué lorsqu'ils ont réussi à vaincre deux adversaires consécutivement. Ceci signifie que si le jeune garçon perd son premier combat du jour, il doit attendre le surlendemain pour obtenir une nouvelle chance de marquer un point.

Il n'y a pas de classement. Les six autres divisions possèdent par contre chacune leur classement numérique individuel, en plus d'une séparation en camps Est et Ouest pour les divisions supérieures, l'Est étant considéré légèrement supérieur.

Dans la plus haute des divisions inférieures, les lutteurs n'effectuent que sept rencontres par tournoi, contre quinze pour les divisions supérieures: jury). Le nombre d'or est donc de quatre victoires pour les divisions inférieures et de huit pour les divisions supérieures. Lorsqu'un lutteur atteint ce chiffre magique, on dit qu'il a fait kachi-koshi, ce qui assure sa promotion en lui faisant gravir quelques marches de la pyramide; plus le lutteur fait état de victoires au cours d'un même tournoi et plus sa promotion est rapide. Le lutteur qui a perdu plus de combats qu'il n'a de victoires s'enfonce de quelques échelons.

 

 

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